Retrouver l’enfant en moi…

«Rêver à des gens qu’on connaît pas»
Pendant longtemps, le vendredi, je publiais des mots d’enfant dans cette catégorie de mon carnet. Je me suis arrêté au #50 ! Ce billet pourrait être considéré en tant que cinquante et unième… puisque le titre provient de ce beau texte rapportant les paroles d’un enfant de deux ans et demi avant de joindre les « bras de Morphée ».
C’est toujours un sentiment d’émerveillement que de lire ces perles. J’ai éprouvé le même plaisir à voir recommencer la publication chez nos plus jeunes carnetiers. Les choses évoluent rapidement côté projet; déjà, les grandes lignes de ce qui sera abordé nous est communiqué.
Je suis le directeur de l’école. J’apprends par le « biais de ces billets » que les jeunes élèves de cette classe vont apprendre à partir d’un thème qu’ils ont choisi : « les bébés ». Je crois que je n’ai pas fini de m’émouvoir de cette belle naïveté…
/Pause agrégateur/
Voilà… Gilles vient de nommer mon malaise !!! Naïvement, je tentais de trouver tout en écrivant sur le sujet de ce texte : et puis hop, pendant la pause, Gilles allume la lumière !
« Retrouver son coeur d’enfant alors qu’on est encore un enfant ».
Je vois maintenant…
Ce n’est pas la fin du monde, mais je me suis dit que c’était important d’écrire pour chercher pourquoi; c’est venu vite (avec de l’aide). Puisque le mystère est éclairci, allons maintenant terminer ces élucubrations avec la dernière phrase du texte du début :
Les gens qui n’existent pas ont de nombreux avantages !
Pas de malaise, mais beaucoup d’inspiration dans ces mots… à quelques minutes d’aller au dodo !