J’en avais parlé en mai 2005 de cette initiative de quelques syndicats.
Ce soir, la télé des moutons noirs nous annonce en grande primeur la même nouvelle qui conduit au même site.
Plus ça change, plus c’est pareil. Il faut dire qu’avec «le spin» de la semaine dernière, l’occasion était belle pour ce groupe.
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Bonjour Mario et TLM
Ce que je décode de tout ce chialâge en règle contre la réforme, c’est que les gens dénigrent ce qu’ils ne connaissent pas, la preuve étant ce refus systématique par plusieurs enseignants de suivre les formations offertes sur le « renouveau pédagogique ». Qui plus est, je me demande si ça en dérange plusieurs que l’élève soit au centre, et non plus eux, enseignants roitelets, représentants tout-puissants de Dieu sur terre, et seuls maitres à bord.
Le renouveau pédagogique, c’est comme quand j’ai mené mon projet avec des sec II, dans lequel projet, chacun des 30 élèves s’était b@ti SON site Web ; avant de designer ce projet, j’avais remarqué que dans les sites Web scolaires québécois, c’était le prof qui publiait des travaux d’élèves dans son site Web. J’aurais bien voulu voir un enseignant publier les cinq p@ges Web des quelques 200 étudiants (en espagnol) que j’avais à mon troisième stage. Ceux-ci n’auraient rien appris de la publication Web et le prof aurait eu un burn out.
Je suppose que pour plusieurs antiréformistes, leur raisonnement ressemble à ceci : je suis un enseignant reconnu, diplômé et vacciné et l’année dernière, on m’a payé pour enseigner de la façon que je le faisais, alors cette année, je vais continuer d’enseigner de la même façon, et on va continuer de me payer, point final. C’est alors plus facile de signer une pétition contre la torrieuse de réforme, au lieu de prendre le temps d’évaluer en quoi on peut adapter son rôle d’enseignant pour mieux s’harmoniser avec le renouveau pédagogique.
C’est que voyez-vous aussi, les enseignants sont poignés avec des étudiants imparfaits ; voilà le parfait ordre des choses. L’enseignant, lui, a sa clef de correction et les bonnes réponses. Lui dire qu’il doit adapter son enseignement, c’est comme lui dire qu’il est aussi imparfait que ses élèves… Serait-ce trop dur à avaler pour les parfaits enseignants ?