Jean Leclerc et la ouate

Pour moi, ça commence ici, chez Dumais. Puis, par un commentaire, ça se poursuit , chez Cent papiers pour se terminer à l’adresse de Mme Petrowski.

«Parce que ce que Leclerc reproche aux jeunes qui font de la musique au Québec aujourd’hui, c’est de n’avoir rien vécu et par conséquent de n’avoir rien à dire. Ce qu’il leur reproche, c’est de ne pas raconter les vraies affaires de la vraie vie : les affaires plates, sales et douloureuses, les meurtres psychiques et physiques, toutes les blessures et plaies béantes que chantaient autrefois les Colocs, mais dont on ne veut plus entendre parler, et qu’on peut encore moins chanter parce que ça nous dérange dans notre petit confort de coton ouaté.»

Il me reste à aller écouter la toune de Leclerc, celle où «ses tripes sont là devant nous sur la table». C’est par ici, en mp3, grâce à P45… N’oublions pas le chemin vers Christiane Charette au cas où il me resterait un peu d’énergie.

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