Militer

Depuis ma première rencontre avec François Legault en juin 2011, beaucoup d’eau a coulé sous le pont de mon militantisme en politique active. Depuis juin 2011, je me suis engagé activement à la Coalition avenir Québec, portant avec d’autres un puissant message que nous pouvons à la fois être fiers et prospères au Québec.

En juin 2011, je nous souhaitais un belle aventure, ensemble.

Presque sept ans plus tard, je réalise que l’aventure est belle et bonne. Il reste cependant plusieurs chapitres à écrire. Le meilleur est à venir, que je me dis…

Ce carnet de bord est le réceptacle des traces importantes de mon cheminement professionnel et j’en suis fier. Mes idées sont de plus en plus claires et la transparence de mon cheminement constitue une mes forces en politique. Ces quelques traces publiées depuis octobre 2002 montrent bien d’où je viens et où je m’en vais.

J’ai parlé sur ce blogue de l’urgence de favoriser l’autonomie des écoles publiques bien avant que naisse le parti au sein duquel je milite, ce qui agit de manière à crédibiliser mon appartenance au projet de François Legault. Je crois être une bonne influence pour mon parti en éducation et aussi, en ce qui a trait au nécessaire virage numérique à prendre au Québec.

Je ne rate aucune occasion de traiter d’éducation et de numérique avec mon chef et avec d’autres officiers ou militants de la Coalition avenir Québec depuis juin 2011. De cette première rencontre de 2011 avec François Legault, je suis heureux d’avoir la trace de mes échanges avec lui sur le Web participatif, le principe d’un gouvernement plus transparent et le concept des données ouvertes.

D’ailleurs, j’ai eu l’occasion cette semaine d’échanger avec François Bonnardel et un membre de l’équipe de recherche de l’Aile parlementaire du 2e groupe d’opposition et je regrette presque de ne pas avoir écrit après cette rencontre. Il y aurait beaucoup à objectiver…

Je lisais Le Devoir ce matin et je repensais au contexte de cette première occasion de nouer des liens entre nous (François Legault et moi) parce que celui qui a probablement favorisé notre rencontre est l’objet d’une chronique intéressante, intitulée Un nouveau beau risque.

« La parution de L’idéologie du hasard est à marquer d’une pierre blanche. Il s’agit, en effet, à mon humble avis, du premier essai intellectuel caquiste de notre histoire. »

Le livre (à paraître bientôt) décrit bien le cheminement intellectuel de Jean-François Simard et explique pourquoi « le sociologue mise sur la CAQ, une coalition qu’il compare au mouvement En Marche !, d’Emmanuel Macron, en France. »

« Son argumentation est souvent vibrante et éloquente et son invitation, sincère. »

Il s’agit du même Jean-François Simard qui était présent à Lévis en juin 2011. Chacun sa façon de garder des traces de son cheminement intellectuel.

Le Devoir comporte d’ailleurs plusieurs textes intéressants ce matin regroupés dans un dossier complet sur l’analyse de notre ascension en tant que formation politique:

Je l’écrivais plus haut, le meilleur est à venir.

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