Je suivais le fil suite à la lecture de cet excellent article publié au Café pédagogique (Porte-plume : vers une École de la publication ?) dans lequel je suis cité et je relisais ce papier écrit le 3 mai 2010 : Et si les filtres Internet dans les écoles envoyaient le mauvais signal ? Dans cet article, il y a un lien vers un article écrit le 18 octobre 2009 qui est identifié à l’ancienne entreprise que je dirigeais (Opossum) que j’ai heureusement redirigé sur mon blogue : Ma c.s. bloque l’accès aux sites Internet du Web participatif: cinq façons de les convaincre de se montrer plus responsable!
Une phrase semble avoir retenu l’attention de Michel Guillou dans cet article et je l’en remercie : « Je suis de ceux qui affirment que c’est plus dangereux de ne pas éduquer devant la présence de dangers potentiels que de mettre à l’Index et de risquer que les jeunes soient confrontés aux mêmes dangers (hors de l’école) sans les moyens d’y faire face ».
Je retiens d’ailleurs ce passage de Louise Merzeau qui m’apparaît encore d’actualité aujourd’hui : «L’école n’a pas le choix, elle doit prendre toute sa part à l’éducation numérique des élèves, en les guidant pour le choix de leurs outils, en leur apportant la culture dont ils ont tant besoin et en leur expliquant le texte numérique».
Ce défi qui demeure un enjeu central de l’éducation en 2025 doit être pris en compte quand on parlait de la recommandation #23 au sujet du développement de la compétence numérique dans cet article!
Merci au Café pédagogique de me ramener à ce défi qui demeure central au niveau des enjeux éducatif d’aujourd’hui et salutations au passage à Michel Guillou dont j’ai retrouvé de bons textes à Culture numérique!
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