Mario Asselin

Vingt minutes et un défi de complété. La mécanique de fonctionnement fait en sorte que les membres adoptent une à une les propositions sans qu’il y ait vraiment de débat. Les représentants des médias rassemblés

Ça va tellement vite ce matin que le discours de M. Boisclair sera devancé. Prévu pour 13 h 00 en début de journée, l’allocution de clôture devrait débuter vers 12 h 30.
Ça donne une idée du type de brassage

Monsieur Simard est assis en arrière de la salle contrairement aux autres députés qui accompagnent leur instance (c’est le mot employé ici pour « circonscription », si j’ai bien compris).
Voilà ce qui motive un

Monsieur SPQ libre n’a pas aimé le titre de la une de La Presse et il ne s’est pas gêné pour le dire sur le parquet. Cet article de ce matin de mon voisin de table (Presse canadienne) venait d’un scrum donné par

Nous en sommes aux discours d’office. Il est 12 h 05. Nous venons d’entendre Mathieu Jeanneau dire que « les engagements du PQ en éducation sont les plus ambitieux depuis la Révolution tranquille. » En ce moment,

Malgré la grosse musique, le nombre incroyable de poignées de main et les nombreuses caméras, je vous annonce qu’au bout de trois minutes après avoir été présenté, Monsieur Boisclair a pu joindre le podium pour

« Je m’assurerai que les écoles privées soient plus actives et plus impliquées pour soutenir les élèves qui sont en difficultés et pour aider à faire en sorte que le plus grand nombre d’entre eux réussissent.

À retenir : entre le moment où un chef de parti termine son allocution en fin de congrès et celui où les journalistes se déplacent pour le point de presse, il s’écoule à peine le temps d’aller à la salle de bain.

Le point de presse s’est terminé sans que les journalistes aient épuisé leur lot de questions. J’imagine que c’est normal. Quand la soupe est devenue chaude sur la question de savoir ce qui est le plus important

« Le parti québécois l’a instauré… il est trop tôt pour tirer des conclusions définitives… Donnons-nous le temps… Faire marche arrière serait une erreur… La réforme est là pour rester…
Deux gestes à

C’est l’heure des bilans. La semaine de travail reprend dès demain et je n’aurai pas le temps de ramasser ce qui reste de mon expérience de journaliste-citoyen d’en fin de semaine. Je pourrai sûrement mieux

J’ai déjà publié une sorte de «credo politique» au commentaire #9 de ce billet à la suite de l’intervention de Jean Trudeau (un internaute de passage sur mon blogue) qui me demandait si j’étais péquiste, puisque

C’est le thème du congrès auquel j’assiste. Je suis arrivé sur place. Muni du cahier du participant, je me prépare à bloguer la première activité. Dès le départ, nous aurons droit à une allocution du chef de

Vous savez que vous êtes dans un congrès «jeune» quand un chapitre du début du cahier s’intitulle «Le code Morin en bref». En deux pages, c’est très bien expliqué…
Le cahier contient les propositions à discuter

Le local dans lequel nous sommes réunis est rempli à pleine capacité. Autour d’une centaine de participants composent le groupe. Un rapport gars/filles de 60% gars pour 40% filles, à l’oeil. Les journalistes qui

Tour à tour, la v.p. et la présidente de la commission des jeunes ont brièvement pris la parole pour venir féliciter les jeunes de leur présence. Catherine Goyer (la présidente) a introduit le chef avec beaucoup

Cet économiste associé à l’IEDM a livré une allocution qui portait le titre «libéraliser l’université». Je ne crois pas que M. Laberge soit venu ajouter quoi que ce soit que nous ne savions pas déjà de ses idées.

Son intervention portait le titre «Faire autrement», mais aurait pu s’appeler «Défaire d’abord»… Les jeunes présents semblaient bien connaître M. Boisvenu et l’association qu’il a fondée (l’Association des

Nous avons le temps, avant la période du dîner, de débuter le travail en atelier. Un jeune avocat dirige la circulation. Il est accompagné d’un «porteur» des propositions qui me semble avoir travaillé dans

Les activités au congrès des jeunes adéquistes viennent de se terminer pour aujourd’hui. Les activités sérieuses, parce qu’il y a une suite, plus sociale, ce soir. Je n’ai pas beaucoup blogué «en live» cette