Mon corps, c’est tout ce qui me reste!

Cette période du 8 mars est toujours spéciale pour moi. Il m’est déjà arrivé d’écrire en évoquant des thèmes plus féministes (dont ici et ici), mais aujourd’hui, en lisant Mme Payette, je ne peux m’empêcher de faire un lien entre l’initiative des amazones et le fait que les femmes doivent «se réveiller». Hier, elles ont tenté de nous réveiller…

«Un groupe de féministes étudiantes se sont mises à nu devant le C.A. de l’UQAM afin de dénoncer le manque de transparence de l’administration, l’absence de négociation avec la partie étudiante et l’inégalité des rapports de sexes en politique.»

Geste d’éclat, s’il en est un. J’entendais chez Mme Charette et je lisais au Centre des Médias Alternatifs du Québec que «Notre parole est notre message», que «Nos corps ne sont que des instruments». Elles en rajoutent:

«En écrivant à l’encre noire sur leur peau, les femmes impliquées dans cette action symbolique ont utilisé leur chair comme portail politique. Ainsi, elles refusent catégoriquement l’érotisation stéréotypée du corps féminin.»

Il est vraiment temps que je m’intéresse de près à ce sujet de l’UQAM qui me passe souvent devant les yeux sans que vraiment, je sois sensible aux événements dramatiques qui semblent s’y vivre.

Merci de me brasser encore en cette période du 8 mars et de me réveiller de façon si percutante!

Bonne journée pour demain!

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