Ce n’est pas cela l’amour…

Via La Tribu du Verbe et Grande Rousse, je renoue avec le site de Sisyphe. Ce texte et celui-ci à propos du drame de la mort violente de Marie Trintignant forment un duo assez représentatif des émotions qui m’habitent… J’aime bien le titre du billet de Dolorès : ». »… Un point ! Est-ce à dire qu’on vire en rond (un point c’est rond, non ?) dans cette spirale de la violence conjugale qui n’en fini plus ? Est-ce plutôt qu’il devient urgent d’y mettre un « point final » ? Où encore, est-ce la façon choisie de dire «Je ne dirai rien d’autre que ce que je lis dans ce texte» ? Je n’ai pas besoin de précision… pour apprécier ce choix de notre langagière-carnetière.
La lecture du texte de Garneau combinée à celle de Micheline Carrier fait ressortir le besoin de parler d’amour dans un autre sens que celui-ci :
« … l’homme se croit propriétaire de ses enfants*
le petit chanteur se sent le droit de punir sa blonde
et Celeene et Whitney malgré qu’elles savent
sont coupables de trahir toutes les femmes
en anonnant les dogmes de l’amour-amour
le greater amour qui aveugle et justifie la bêtise
cette insidieuse idée de l’amour qui clame
l’abandon de soi-même et que l’autre
ait un pouvoir sur soi un pouvoir qu’on aime
* Réfère à cet autre drame
Je me souviendrai donc de la sage parole de Gustave Le Bon :
« L’amour craint le doute,
cependant il grandit par le doute
et périt souvent de la certitude.
 »

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