Au pied de la Tour Eiffel

Ma deuxième journée à Paris commence sur des chapeaux de roues. J’ai plus de quarante-cinq minutes de métro à faire pour aller à la rencontre de Loïc Le Meur, avec qui j’ai rendez-vous. Il a choisi le lieu, un chic « lounge » près de la Maison de la radio, à quelques pas de la Tour Eiffel. Après quelques secondes de « prise de contact », l’offre de « podcaster » une partie de la conversation vient et on est partie pour plusieurs minutes. Les gens savent comment c’est facile avec moi quand « on pèse sur le piton »…
Je garderai le reste de la rencontre pour usage professionnel, l’idée étant que M. Le Meur travaille pour une société qui est propriétaire d’une solution logiciel avec laquelle nous envisageons (chez Op !), parmi autres alternatives, un certain développement, cyberportfolio 2.0 oblige (meilleur hyperlien à venir bientôt). À suivre…
Le « meeting » terminé, je marche vers La Tour. Depuis que je suis arrivé, je vais de rencontre en rencontre… J’ai quelques heures devant moi et surtout, j’ai à écrire un texte qui résumera de ce que je présenterai jeudi A.M. à Dijon. Quoi de mieux que de me trouver un petit resto Italien, déguster une petite pizza et surtout, me brancher histoire de mettre un peu d’ambiance. Je trouve l’endroit recherché à quelques pas de la dite Tour. Repas tranquille, atmosphère dîner d’affaires entre collègues et un sorbet framboise-Vacherin pas piqué des vers…
Il est 13 h 45. Retour vers la Gare de Lyon pour terminer l’écriture de ce texte que je veux « béton » ! Je sais que les gens du Québec se lèvent actuellement. «Eh les amis… bonne journée !»