D’un WebCamp à l’autre…

Mario_Webcamp_de_laurent_lasalle.jpg
Crédits photo: Laurent Lasalle

J’ai éprouvé beaucoup de plaisir à intervenir au WebCamp de Québec de mercredi dernier. En plus des habitués de ce genre d’événement, il y avait aussi une multitude de nouveaux participants et les médias qui se sont donné le mot pour cette deuxième édition traitant de différents angles plus ou moins représentatifs de nos discussions (Journal de Québec, Québec Hebdo, Le Soleil et TVA – Québec).

Nombre de sujets ont été abordés et bien malin celui qui pourra rassembler en un seul endroit toute la gamme des interventions; Bruno Larouche s’y emploie

Je retiendrai cependant un des temps forts de la journée déclenchée par une enseignante du Collège O’Sullivan qui a pris la parole pour obtenir du feedback sur la qualité de la formation initiale des programmes du domaine du Web. Étant sur place avec une dizaine de ses étudiants (ce qui a été salué chaleureusement par des applaudissements de la salle), elle s’est montrée intéressée à savoir comment ajuster ses cours aux besoins des gens présents à la salle. C’était probablement un des rares moments où la file pour prendre la parole a dépassé le temps alloué pour ce sujet. Un jeune homme a tout résumé en ce qui me concerne en affirmant comment c’était futile d’essayer d’avoir un contenu de programme toujours à jour compte tenu de la vitesse avec laquelle les connaissances évoluent dans le domaine du Web. Plusieurs gazouillis ont démontré l’importance du «savoir apprendre» plutôt que de l’inutile «bourrage de crâne».

À la fin de la journée, un des organisateurs m’a demandé de résumer une sorte de prise de position à partir de ce que nous avions entendu au fil de la journée sur ce sujet. Avec quelques copains, nous avons composé ce paragraphe que nous avons soumis aux gens encore présents. Certains ont relevé le défi de «retweetant», en résumant le propos en deçà des 140 caractères…

«Les participants au WebCamp Québec 2010 affirment sans détour que les lieux de formation et les programmes d’études qui touchent au domaine du Web et des nouvelles technologies doivent permettre aux apprenants d’apprendre les clés de lecture qui permettent de toujours être à la fine pointe en terme de contenu (technologies, concepts, bonnes pratiques, etc.) et favoriser un ancrage avec le milieu du travail et la réalité du marché.»

Auparavant, j’avais pu dire quelques mots sur notre initiative conjointe avec la Ville de Québec, clip ta RUE. Sandra Bellefoy du Synchro Blogue a capté mon intervention de trois minutes qui se voulait une façon d’introduire le sujet de la Génération C et de la façon de valoriser la toponymie en sollicitant leurs talents…

L’un des meilleurs résumé de la journée se retrouve chez Denis-François Gravel et on peut trouver d’autres échos chez Jean-François Verville, Patrice Plante ou Patrick Grégoire, entre autres.

Curieusement, un autre WebCamp a lieu la semaine prochaine (page Facebook) en parallèle du Webcom Montréal; j’ai d’ailleurs modifié la bannière sur la page principale de mon blogue de façon à mettre en valeur un des invités de marque du rassemblement, Jimmy Wales, l’un des fondateurs de Wikipédia. Ça promet… J’y reviendrai.

Mise à jour du 30 mai: Je résume mon expérience au Webcom Montréal dans ce billet. Aussi, il y a eu une suite (en quelque sorte) de ma présentation au Webcamp (sur clip ta RUE) puisque le journaliste Pierre Asselin du Soleil était sur place. Ça donne cet article paru hier, «La toponymie, caméra à la main»!

Tags:
0 Commentaires

Laisser une réponse

Contactez-moi

Je tenterai de vous répondre le plus rapidement possible...

En cours d’envoi

Si les propos, opinions et prises de position de ce site peuvent coïncider avec ce que privilégie le parti pour lequel je milite, je certifie en être le seul éditeur. - ©2022 Thème KLEO

Vous connecter avec vos identifiants

ou    

Vous avez oublié vos informations ?

Create Account

Aller à la barre d’outils